Eric V. Montpellier, le 9 février 2018
Jean Yves me voila… pour te dire ce que je pense de ton bouquin… Alors je vais faire simple, un grand MERCI à toi d’avoir partagé avec ceux qui ont la joie de découvrir en te lisant, ce que je subodorais, de la richesse de ta vie et surtout du « bonhomme », si tu m’autorise cette expression qui est pour moi une noble expression et reconnaissance de grandes qualités humaines. Oui, je me suis régalé à te lire car le style est vrai comme l’homme dont j’en avais gardé l’image lors de tes passages « aux ops » accompagnés et ponctués par tes grands éclats de rire qui raisonnaient dans les couloirs des algécos de l’ancienne tour de l’aéroport de MPL, Montpellier (LFMT, pour les intimes) et qui ont suivis dans le siège plus feutré du millénaire puis de l’ESMA, des PPV’s de France et d’ailleurs.
J’exprimerais cependant le regret de ne pas avoir mieux connu cet homme qui m’intriguait, pour être totalement honnête, par son coté « décalé » par rapport aux autres spécimens de pilotes qui faisaient vite péter les galons à la moindre occasion et faisaient preuve d’un grand vide humain. En dehors de cette personnalité qui n’interpellait je me souviens d’une très grande réserve sur la richesse de tes aventures passées à avoir déjà sillonné « le Monde » ou tout au moins « le Globe » lorsque nous avions échangé a quelques reprises sur ma petit période Guyanaise et mes amitiés Équatoriennes de l’époque et qui perdurent d’ailleurs toujours. Tu me semblais ne pas vouloir te livrer plus et tu partais dans des grands éclats de rire, peut-être pour mettre un peu de distance et éviter à l’auditoire et peut être moi-même de ne pas froisser sur la « taille » des aventures. Voilà, voilà … Oui je me suis régalé à te lire avec une véritable émotion heureuse et plus prenante sur les périodes dramatiques de ta vie et qui ont inévitablement fait remonter certaines de la mienne. Alors BRAVO à toi d’exprimer tout cela avec une telle humanité et confiance en la vie. Plaisir de t’avoir lu, découvert et « redécouvert » pour le passage aérien. Maintenant je ne peux que passer à la lecture de ton roman et Merci encore à toi. » Bons Vents » sur les mers, dans les airs et dans tes instruments de musique.
Bonsoir Jean-Yves,
Il y a longtemps que je voulais t’écrire, te donner mes impressions sur tes souvenirs que j’ai lus depuis un moment déjà, seulement, je me laisse tous les jours envahir par mille choses qui ne peuvent pas attendre, (tu parles…) mais c’est connu, les retraités sont tous débordés.Ton livre de souvenirs donc… Je suis d’abord très impressionnée par ta mémoire, elle doit être très performante. Comment as-tu fait pour raconter avec d’innombrables détails tes années d’aventures dans les bateaux et es avions ? Si jamais tu avais écrit un journal, il a dû brûler lors de l’incendie de ta maison ? Alors comment se souvenir de toute cette exactitude ? Chapeau. (La personne qui t’écrit ça, possède à la place du cerveau un fromage suisse…) J’ai beaucoup aimé ton récit sur votre incroyable voyage au Pakistan. Quelle insouciance, quel courage ! Et comme tu parles de tes enfants, les mots que tu trouves pour raconter la mort d’Aurore et de Sylvain, c’est magnifique. Sur tes amours, tu es resté pudique, c’est normal, mais on aurait aimé connaître un peu davantage Mimi. Tu as eu une vie riche et passionnante, qui continue à t’enthousiasmer. Quelle chance !Et je me suis bien régalée en te lisant.Amitié et bisesRuthli
Très Cher Jean-Yves,
« Traversées et Turbulences ».
Quelles aventures passionnantes tu as vécues ! Je suis littéralement époustouflée par ta mémoire des évènements et la précision avec laquelle tu décris tes impressions et tes ressentis du moment.
Tu as eu une vie active tellement variée et truffée d’anecdotes que je comprends le désir de tes enfants que tu écrives ce livre.
J’ai mis du temps à lire la seconde partie car j’appréhendais clairement la lecture des évènements dramatiques qui ont semé des pierres sur ta route. Tu les as narrés avec tellement d’amour et d’humanité que c’est une immense tendresse qui m’habitait en lisant tes mots.
Merci pour ce récit et toutes les émotions qui en découlent. Tu es un Grand Monsieur !